Xavier Azalbert, France-Soir
Hup Hup Hup... Barbatruck !
Quand le « barde à papa » Emmanuel Macron, porte-voix des élites à la sauce Rothschild, se mue en lecteur clandestin des éditos de France-Soir, qui dézinguent à l'avance son plan tordu et sa com' 100 % « poudre de perlimpinpin » !
Oubliez la « ouate de cellulose » qui n'est pas de la « poudre de papier », qui compose le mouchoir qu'il a maladroitement planqué sous sa manche dans cette vidéo , filmée lors de son voyage en train pour Kiev. Non, la poudre de perlimpinpin, ce n'est pas pour se faire un rail. C'est ce qu'il balance aux yeux des Français pour les rendre aveugles à ses arrangements énormes, qui dansent la gigue juste sous leur nez.
Et, le tour de passe-passe du jour ? Transformer Macron, champion du mépris populaire depuis huit ans, en défenseur soudain de la volonté des Français. Un virage à 180° pour, soi-disant, mener une politique qui, miracle, irait enfin dans le sens des intérêts de la France. Spoiler : c'est du flan. Ce énième numéro de cirque, il va le jouer ce soir, mardi 13 mai 2025, à 20 heures, lors de son allocution télévisée. Un show qui n'amuse plus que lui et les 4 %, de fans du « en même temps », qui pensent encore qu'il mène le pays dans la bonne direction en gobant ses promesses comme des engagements gravés dans le marbre.
Comment va-t-il s'y prendre ? Par des référendums, pardi ! Oui, vous avez bien lu. Macron, qui snobe le peuple depuis son arrivée à Bercy en 2014, va annoncer ce soir la tenue d'un ou plusieurs référendums. Et devinez qui l'avait évoqué ? Votre serviteur, dans trois éditos de France-Soir publiés il y a plusieurs mois ( ici, là, et encore là). Et qui ont même fait l'objet d'un sondage.
Pendant que les médias mainstream, grassement rémunérés de subventions, découvrent l'info avec trois mois de retard, France-Soir avait déjà vendu la mèche.
Mais attention, pas de panique, les amis. Ces référendums, ce n'est pas pour demander : « Voulez-vous qu'on arrête de claquer vos impôts pour l'Ukraine et qu'on répare les hôpitaux ? » ou « Faut-il dire ciao à Bruxelles et à ses technocrates ? ». Non, non. Macron, ex-banquier chez Rothschild & Cie, n'est pas du genre à scier la branche sur laquelle il trône. Il va dégainer des sujets bien populistes, taillés pour faire dire « oui » à Mamie, Tonton et même au clébard. Genre : « Voulez-vous des billets de train moins chers ? » ou « Faut-il plus de licornes dans les écoles ? ». Des attrape-nigauds qui ne changeront rien à sa politique anti-Français, peaufinée depuis huit ans (et même dix, si on compte ses exploits comme ministre de l'Économie sous Hollande).
Les médias traditionnels, eux, suivent le mouvement comme des toutous bien dressés. Mention spéciale à Serge Raffy du Point, qui a écrit un article lisible, mais glisse ce qui pourrait s'avérer être une fake-news en or : Macron, prêt à démissionner si le « non » l'emporte ? Balivernes ! D'abord, parce que Macron s'accroche au pouvoir comme un bigorneau à son rocher. Souvenez-vous : Gilets jaunes, européennes en carton, législatives anticipées calamiteuses… jamais il n'a mis son poste en jeu. Ensuite, parce que ses référendums seront bidonnés pour éviter toute question qui pourrait le mettre en danger, comme « Voulez-vous que je continue mon "Parce que c'est notre projet" ? ». Plutôt crever que de risquer un « non » massif. Et d'ailleurs son premier ministre Bayrou l'a confirmé : « il n'est aucunement question d'interroger les Français sur les sujets d'importance ».
D'ailleurs à ce titre et en avant-première, je partage les réponses d'un sondage à paraitre (sur un échantillon représentatif de 1200 Français méthode des quotas). Il porte sur les questions auxquelles les Français aimeraient bien que le président réponde ce soir :
- La consultation des Français par voie de référendum sur l'engagement militaire et financier de la France en Ukraine recueille 20 % des réponses.
- La démission ou la soumission de sa présidence à un référendum est citée comme question la plus importante par 17 %
- 14 % estiment la question sur la mutualisation de l'arme nucléaire et l'avis des Français car 59 % des Français sont contre la mutualisation de l'arme nucléaire comme étant la plus importante.
- Les autres questions recueille moins chacune moins de 7.2 % des mentions comme : la soumission des engagements français en Ukraine à un vote au Parlement sur le fondement des articles 35 et 53 de notre constitution ; la levée du secret défense mis en place lors de la crise sanitaire afin de faire la totale transparence sur les décisions prises va-t-il être levé ; la transparence sur les contrats d'achats des vaccins ; une enquête sur la gestion de la crise sanitaire comme c'est le cas dans de nombreux pays ; et un bulletin de santé tel que le président s'y est engagé lors de ses campagnes en 2017 et 2022.
Les fans du « en même temps » s'essaient à vendre cela comme un sursaut démocratique ? Pitié. Macron et la démocratie, c'est comme un vegan chez le boucher : ça fait semblant, mais ça ne trompe personne. Depuis 2017, il gouverne à coups de 49.3 et de décrets, pas à l'écoute des urnes. Alors, ces référendums, c'est juste un rideau de fumée pour faire oublier qu'il continue de ne pas servir les intérêts des Français en bradant la France à Bruxelles, à Kiev et aux autres amis financiers.
On parie que ce soir, il va nous servir du réchauffé populiste ? Banco ! Et pendant qu'il jongle avec sa poudre de perlimpinpin, ne tombez pas dans le panneau. Branchez votre cerveau, partagez cet édito, et montrez à ce Barbatruck qu'on n'aveugle pas les Français si facilement. Alors, on dit quoi ? Hup hup hup, dehors le baratin !